Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (53) : Le Bureau.
Depuis les débuts de ces récits, jai mentionné avoir commis mes « frasques » dans divers endroits très particuliers :
Le souvenir le plus fort reste le jour où Rachid est devenu mon amant, mon mâle, en me prenant dans lascenseur de mon immeuble (récit numéro 10) alors que je ne le connaissais pas avant ce moment.
Le souvenir le plus hard fut quand Rachid ma offerte à dautres, en présence de Philippe, dans le bureau de celui-ci (récits 21 et 23)
Jai aussi raconté mon adultère avec N. (récit 17) dans la mer et dans les dunes.
Au fur et à mesure de mes aventures extra-conjugales, jai connu dautres endroits insolites.
Je voudrais évoquer ces endroits, choisis par Philippe ou mes amants du moment, ou encore par moi-même, cédant à une pulsion, à un besoin urgent de plaisir.
Les épisodes dont je parlerai se sont tous déroulés depuis que notre couple avec Philippe sest reformé, il y a 5 ans. Ce nest pas complétement un hasard, et ce pour deux raisons :
Notre «Pacte candauliste» prévoit (Principe n°10), sauf exception : « pour préserver la réputation du couple, rien ne se passera au nouveau domicile. Les vacances et les week-ends, hors de la présence des s, seront les moments privilégiés des plaisirs sans freins du couple ».
Notre volonté à Philippe et à moi de pimenter ces moments plus rares et donc dautant plus précieux.
Je ne les présenterai pas de façon chronologique, mais en fonction du lieu.
Le premier de ces « lieux insolites » sera le bureau, mon bureau, lors dune brève tentative de reprise dune activité professionnelle, mais qui a tourné court du fait de mon hypersexualité. Une aventure qui ne sest pas déroulée dans un cadre candauliste, mais adultère et dont je ne suis pas très fière, à la fois par le mensonge quelle a impliquée et parce que jai conscience davoir fait du mal à une autre personne, en plus davoir fragilisé mon couple avec Philippe.
Pour mes lecteurs Premium, ce long récit est illustré par des photos prises discrètement « en situation » par Martine et Monique, à la demande de mon chef Denis, qui est le personnage principal de ce récit.
RETOUR AU TRAVAIL
Quelques mois après la naissance de notre troisième fille, Sofia, nous avions changé de domicile. Ayant désormais « une réputation vierge », Philippe ma encouragé à reprendre une activité professionnelle, au moins à temps partiel. Il pensait que cela maiderait à maîtriser mon hypersexualité, en occupant mon esprit à autre chose et me permettrait de supporter les contraintes que nous nous étions imposées, et qui conduisaient à espacer les moments où nous donnions libre cours à nos envies et nos besoins.
Je venais de passer onze années comme femme au foyer. Pourtant, je nai pas eu trop de mal, à partir de mes compétences en économie, à retrouver un poste de contractuelle. Cela a demandé un peu dorganisation pour les s. Philippe a pris sa part et laide dAgun, qui était revenue dans ma vie depuis quelques semaines, a été particulièrement précieuse.
Au départ, tout sest bien passé.
Je veillais à mhabiller avec des tailleurs stricts, à éviter les décolletés provocants, tout ce qui pouvait mettre en valeur mes fesses, mes seins, mes jambes. Je faisais aussi en sorte que mon maquillage soit discret. Bref, jétais une mère de famille « normale », qui reprenait une activité professionnelle, qui sinvestissait dans son travail, ne ménageait pas son temps et donnait entière satisfaction.
Et cela avait en effet un effet apaisant sur ma libido, parce que jétais passionnée par ce challenge, que je rentrais le soir dautant plus fatiguée que je devais aussi consacrer du temps aux miens. Bref, a priori léquilibre parfait, même si je ne pouvais, de temps en temps, mempêcher de me rendre aux toilettes pour me soulager, en me masturbant, tout en veillant à réprimer tout gémissement de plaisir.
Ma tranquillité na pas duré parce que Monique, qui ne maimait pas, avait été bavarde et avait mis dans la confidence Denis. Jai aussi fini par croire que ça se voit sur mon visage que je suis hypersexuelle et que je suis toujours disponible, pour autant quon me sollicite.
Mon chef direct, Denis avait la quarantaine, un bel homme brun, grisonnant, de taille moyenne, légèrement dégarni, et possédant un charme fou. Il est très autoritaire, mais très correct et très sympathique. Je refusais de ladmettre mais javais été demblée troublée par lui.
HARCELEE ?
Un jour, lors dune réunion, alors que je portais un strict tailleur du style banquière et que jétais à côté de lui lors dune réunion, une main sest posée sur ma cuisse. Cétait Denis, qui était assis à côté de moi. Jétais en train de faire un exposé. Jai pris sur moi de ne pas minterrompre, de masquer mon trouble, pourtant perceptible dans ma voix et dans mes yeux. Jai immédiatement ressentie que jétais excitée, que je ne contrôlais pas ma réaction.
Que devais-je faire ? Pas question de faire un scandale, ce nétait pas le lieu, devant témoins, en pleine réunion.
En même temps, cétait à un moment, après le retour de nos vacances 2014 où, depuis des semaines, il ne se passait plus rien, après une période dintense « activité » dont jai parlé. Jétais manifestement en manque, je lavais dit à Philippe, qui se contentait, avec un baiser, de me dire de patienter, quil était lui-même très pris sur le plan professionnel en ce moment et ne pouvait donc pas organiser ces moments dont javais besoin.
Jignorais à ce moment-là le vrai motif de ses occupations : il allait, à chaque fois quil le pouvait, rejoindre la jeune Ambre, qui, depuis nos vacances, était devenue sa maîtresse (voir récits 45 et 46), et ce avec la complicité de son mari Renaud.
Je sais, jaurais dû essayer, discrètement, denlever cette main, mais javoue que, malgré moi, jétais excitée. En fait, javais envie quil continue, quil aille plus loin. Jaurais dû au moins le regarder sévèrement, au lieu de ça je me suis contentée dun sourire idiot.
Lorsque nous sommes retrouvés seuls, jai abordé le sujet :
Denis, ce que vous avez fait tout à lheure, ce nest pas bien. Je suis une mère de famille, je suis mariée.
Il ma semblé, Olga, que cela ne vous déplaisait pas tant que ça. Mais bon, je vous promets dêtre sage à lavenir.
Je vous remercie, jaime beaucoup ce travail.
Et moi japprécie beaucoup votre travail et notre hiérarchie aussi. Vous êtes parfaitement intégrée et votre compétence est reconnue. Jai juste deux demandes, Olga
Allez-y !
Dabord, comme nous travaillons beaucoup ensemble, je propose quon se tutoie.
Cest daccord, Denis.
Jaimerai aussi que tu renonces à porter ces tenues si strictes. Tu es superbe, sois plus sexy. Mets-toi plus en valeur, tu es superbe. Je te dis ça sans arrière-pensées.
Je le ferai puisque ça te fait plaisir, Denis. Mais on sarrête là, daccord ?
Il se contenta de sourire. Il ma raccompagné et, alors que je mapprêtais à sortir du bureau, il a posé une main sur mes fesses.
A nouveau, je nai pas réagi comme jaurais dû et lui coller une gifle :
Tu avais promis !
Oui, pardon, mais tu as de si jolies fesses, je nai pas pu résister. Ne tinquiète pas, je ne ferai rien que tu ne veuilles toi-même !
Son instinct lui avait fait comprendre dès mon arrivée que je nétais pas celle que je prétendais être. Il était de plus au courant des vraies raisons de mes passages aux toilettes. Cest dailleurs là où je me suis rendue immédiatement après cet incident, sans porter attention au sourire narquois de Monique.
Quand je suis sortie, Monique était là et a levé lambiguïté :
Dis-donc, ma chérie, tu as pris ton pied !
Je rougis et baissais les yeux.
Tu sais, jaime les jolies femmes. Si tu veux, on pourra samuser un peu ensemble.
Non merci, je suis fidèle et jentends le rester.
Je ne voulais évidemment pas parler dAgun à cette femme et de la promesse de fidélité que je lui avais faite.
On verra ça sur la durée. En tout cas, en ce qui me concerne, tu as tort. Si tu changes davais, fais-moi signe !
Le soir, jai eu du mal à dormir, je me suis à nouveau masturbée pendant que Philippe dormait. Je pensais à cette journée, à Denis, javais envie de lui. Il ne fallait pas, je ne devais pas !
ALLUMEUSE ?
Le lendemain matin, je me raisonnais en me disant que je devais résister à la tentation, repousser les avances de Denis. Et pourtant, à partir de ce jour-là, sans tomber dans lexagération, je choisissais des tenues toujours aussi élégantes, mais je mhabillais plus court, plus sexy, je mettais désormais en valeur mon décolleté, mes fesses, mes jambes.
Dans un premier temps, Denis semblait vouloir tenir sa promesse de ne pas aller plus loin. Le premier jour, jétais assise devant mon ordonnateur, il vint dans mon bureau et se contenta de poser brièvement une main sur mon épaule. Je ne pus mempêcher de frissonner, pourtant il ne faisait pas froid et javais gardé la veste de mon tailleur bleu. Il avait remarqué mon trouble :
Cest bien, tu mas écouté. Ce tailleur bleu te va à merveille. Enlève cette veste, tu dois avoir chaud !
Je me suis mise à rougir comme une jeune fille. Je lui ai obéi.
Lève-toi que je tadmire ! Tu es superbe, quand on a de telles jambes, on les montre. Et jaime ton chemisier échancré. Demain, ne mets pas de soutien-gorge, tu veux bien ?
Denis, sil te plait, jai beaucoup de travail !
Je ne fais rien de mal, cest juste pour le plaisir des yeux ! Je te laisse travailler.
Rien à signaler pendant un moment. Soit Denis avait renoncé, soit il faisait attention de ne pas être surpris dans un geste déplacé, pour ne pas encourir daccusation de harcèlement.
Jai eu assez vite la réponse. Je cherchais un dossier dans un meuble classeur. Je portais une jupe noire, assez serrée, mais qui allait juste au-dessus des genoux. Denis est passé derrière moi et jai eu droit à une légère tape sur les fesses.
Mais !!! Tu arrêtes ça !
Excuse-moi, mais ton cul est une vraie invitation à le découvrir avec les mains.
Que devais-je faire ? Aller voir le syndicat ? Me plaindre auprès des Ressources Humaines ? En parler à Philippe ?
Je nai rien fait de tout cela. Pour plusieurs raisons. Me croirait-on ? Si on se renseignait un peu, ma véritable personnalité pouvait ressortir. Je ne voulais ni perdre ce travail, car je risquais de ne pas en retrouver un autre, et je ne voulais pas causer dennuis à Denis qui, après tout, navait rien fait de mal, en dehors de quelques gestes déplacés. Et puis, je lavoue. Réellement en manque, je me sentais oubliée par Philippe. Je nétais pas peu fière, à 37 ans, mère de trois s, de susciter le désir dun homme si séduisant.
Le jeu du chat et de la souris sest poursuivi. Le chat, sûr de lui, prenait son temps. Son instinct devait lui dire que jétais en manque et quil parviendrait à ses fins.
Denis a continué son offensive. Javais mis une robe bleue assez sage, jétais debout, au téléphone, occupée à traiter un dossier délicat. Denis est entré dans le bureau. Et à nouveau une main baladeuse sur mes fesses ! Mais cette fois, pas une petite tape ou un geste furtif. Il prenait son temps, il malaxait mes fesses.
La version officielle, que je lui assénais quelques minutes plus tard lorsque jai déboulé dans son bureau, furieuse, est que je ne pouvais pas faire desclandre alors que je traitais dun dossier stratégique pour mon employeur. En réalité, Denis avait bien perçu mon consentement, ne serait-ce quau son de ma voix.
Il se contenta de me sourire et de me dire :
Il mavait semblé que tu avais aimé ça. Mais puisque cest comme ça, OK, je te laisserai tranquille.
Et en effet, pendant plusieurs semaines, il ne sest plus rien passé.
Est-ce le diable en moi qui me disait, le soir, dans mon lit, quand je me masturbais en pensant à Denis, que jétais stupide, quaprès tout Philippe ne tenait pas ses engagements et me laissait véritablement en état de manque, lui-même se disant trop fatigué pour se consacrer à moi ? Tu parles, cette garce dAmbre le tuait de plaisir pendant le week-end, mais ça je ne le savais pas encore.
En journée, je me rendais de plus en plus en souvent aux toilettes, pour me masturber en pensant à Denis et au moment, que je sentais inévitable, où il me baiserait.
Heureusement, les caresses et lamour dAgun me comblaient, mais nont jamais remplacé le besoin détreintes viriles.
Jai donc décidé, le lendemain, de jouer avec le feu et de mettre une tenue chic, mais plus sexy. Javais choisi de porter un body et une jupe courte, ce qui mettait bien en valeur mes fesses et mes cuisses.
Leffet a été immédiat. Je rangeais mes dossiers dans la salle darchives, jétais seule.
Denis est rentré et à nouveau ses mains se portèrent sur mes fesses.
Cest pour mallumer que tu tes habillée comme ça aujourdhui, petite garce ?
Je suis folle, mais jaime quand tu me touches !
Il sest interrompu, nous risquions dêtre surpris et nous risquions gros. Mais son regard en disait long sur ses intentions.
Le lendemain, Denis minvita au restaurant. Pendant le déjeuner, il mit sa main sur ma cuisse. Loin de le repousser, je mis ma main sur la sienne, pour lui signifier mon contentement.
Sans lui donner ce jour-là tous les détails, je lui parlais de notre couple avec Philippe, de son candaulisme, mais aussi des contraintes que nous nous étions fixées, en particulier que mes liaisons éventuelles devaient avoir laval de mon mari et que ça ne devait pas se passer à mon travail et dans cette ville.
Jai du mal à comprendre ce que tu appelles candaulisme. Si moi javais un tel trésor, je le garderai pour moi !
Je suis heureuse avec Philippe et jaime ce mode de vie. Même si je reconnais quen ce moment Philippe me néglige un peu. Il est lhomme de ma vie, je ne veux pas le tromper, lui mentir.
Euh excuse-moi, mais techniquement le tromper, tu las fait bien souvent, non ?
Oui, mais cest différent. Si javais une relation avec toi, ce ne serait pas du candaulisme, mais un adultère.
Pourquoi ne pas linformer ? Même si ça ne me plait guère, si pour tavoir il faut en passer par là, je veux bien te faire lamour devant lui.
Il ne ma autorisé de relations que celles quil choisit.
Jai du mal à te comprendre. On fait quoi alors ?
Pour le moment contente toi de me toucher, je ne peux et ne veux donner davantage !
Tu me rends fou, petite allumeuse ! Je patienterai, je sais que tu en as envie, toi aussi. Tu finiras par suivre tes instincts !
Cest ce jour-là que je lui accordé son premier baiser. Il embrassait bien. Javais honte, me disant que les gens devaient remarquer mon alliance au doigt, alors que lhomme que jembrassais nen navait pas. Je rougissais, pensant que tout le monde me voyait comme une femme adultère.
Pendant des semaines, Denis a patienté et sest contenté de ce que je lui accordé.
Nous avions chaque matin la réunion où nous faisions le point sur nos dossiers. Mais pas seulement.
Il ne se contentait plus de me mettre la « main au cul », il caressait mes fesses, ses doigts fouillaient sous ma jupe, constatant que je mouillais.
Il se montrait de plus en plus audacieux, prenant le risque que nous soyons surpris. Un jour au photocopieur, il sest serré contre moi, me faisant sentir son désir.
Tu me rends fou, Olga ! Je te veux.
Il membrassait dans le cou, ses mains étaient sur mes seins. Il releva ma robe blanche et ses mains saventurèrent jusquà ma poitrine. Mes seins étaient libres, comme il lavait demandé.
Je me suis retournée, lui offrant mes lèvres pour un baiser fougueux. Le risque décuplait mon excitation. Jaurais été prête à me faire prendre à cet endroit. Cest Denis qui sest repris, juste à temps. Je savais cependant quà ce jeu ma réputation de femme facile ne faisait que se répandre au bureau.
Le lendemain, Denis reprit loffensive. Je my attendais et javais choisi une combinaison d »excutive women », avec un tailleur mauve assez strict, des escarpins bruns très élégants et un chemisier, que je savais échancré, laissant bien deviner mes petits seins et mon excitation.
Denis arriva après moi. Le pantalon de son costume trahissait son excitation.
Devant mes collègues, il prit un ton dur, celui du reproche pour un travail mal fait.
Olga, vous venez tout de suite dans mon bureau. Il faut quon revoie durgence la note que vous avez préparée hier soir. Il faut terminer ce que vous avez commencé et que vous avez bâclé !
Lallusion était transparente. Peu de mes collègues étaient dupes, comme en témoignaient leurs regards et leurs sourires.
Bien sûr, Denis. Je suis à votre disposition.
Jentendis une collègue dire à voix basse mais suffisamment fort :
Ça, on avait remarqué !
Mme E, dit Denis à sa secrétaire, nous en avons pour un petit moment. Quon ne me dérange pas.
Aussitôt la porte refermé derrière nous, Denis me prit dans ses bras.
Denis, cest de la folie, il ne faut pas !
Tais-toi, laisse-toi faire, je nen peux plus, tu comprends !
Pendant quelques secondes qui sont une éternité, nos visages sont à quelques centimètres, nos regards se noyant lun dans lautre. Je ne sais plus ce que je dois faire.
Après quelques instants, Denis baisse son visage près du mien, ses lèvres sont à quelques millimètres des miennes. Son souffle se mêle au mien. Je suis tendue comme un arc, jattends la délivrance dun vrai baiser.
Enfin, ses lèvres effleurent les miennes, comme une plume se poserait sur le sol. Durant un long moment, il les bouge, caresse à peine les miennes. Cest presque intolérable. Je commence aussi à jouer avec sa bouche, nous ne faisons quexplorer le tour des lèvres, nous touchant à peine. Ce moment dure, dure, dure
Puis il pointe sa langue, très lentement, aux commissures de ma bouche, qui sentrouvre un peu. Nos corps nont pas bougé. Ma main est toujours sur son bras, lun des siens mentoure un peu le torse, sa main me tient lépaule.
Il resserre un peu son étreinte, mon bras resté libre remonte près de son cou. Sa langue se fait plus insistante. Et dun coup, les vannes dune folle passion souvrent.
Mes lèvres souvrent sous cette pression ferme, nos langues se mêlent, se cherchent, senroulent sans fin. Nous nous embrassons comme si notre vie en dépendait. Nos corps se sont collés, comme liés par un aimant puissant.
Je ressens des frissons dans le pubis, mes seins pointent. Cest extrêmement sensuel. Nos bouches sont collées, rien ne semble pouvoir nous séparer. Nos langues nen finissent plus de sentremêler, de saspirer, de se lécher
il enfonce la sienne au plus profonde possible de ma gorge, jen fais autant, nous sommes littéralement en train de nous dévorer. Une danse linguale sans fin se joue dans nos bouches closes lune par lautre.
Je serai bien incapable de dire avec précision combien de temps ce baiser a duré, peut-être plus ou moins 10 ou 15 minutes. Un quart dheure lèvres soudées, souffle court, tête et cur à lenvers, avec un trouble intense et puissant. De lérotisme à létat pur.
Il y avait longtemps que je navais reçu ou donné un tel baiser. Je tremble comme une feuille. Rien ne semble devoir arrêter ce moment hors du temps, hors de toute logique.
Denis me prend dans ses bras, me soulève et me pose sur son bureau. Il ouvre mon chemisier avec impatience et caresse mes seins avec science, moi assise sur son bureau. Mes lecteurs savent que cest un de mes points les plus érogènes. Je gémissais, il essayait de me faire taire en membrassant fougueusement. Pour la première fois, jai connu un orgasme avec Denis.
Nous navons pas entendu frapper à la porte du bureau de Denis.
Cétait Martine E. , la secrétaire de Denis, qui apportait des dossiers pour des signatures urgentes. Martine mavait depuis quelques temps à lil. Elle avait remarqué ma transformation, mes tenues toujours plus sexy, le temps que je passais dans le bureau de Denis.
Nous nous sommes redressés à la vitesse de léclair, mais notre trouble était visible. Javais mal reboutonné mon chemisier, mon visage était marqué par le plaisir.
Denis a voulu me rassurer en me disant :
Ne tinquiète pas, Mme E. est dune discrétion exemplaire. Elle ne dira rien. Mais jy crois pas, tu as joui rien que parce que jai caressé tes seins et sucé tes tétons.
Cest mon point le plus sensible. Un homme qui soccupe de mes petits seins peut ensuite faire de moi ce quil veut.
Alors dans ce cas, on va au bout. Jen peux plus, Olga. Viens chez moi ce soir ou allons à lhôtel. Je te veux !
Au bord du gouffre, je refusais daller plus loin.
Il était absolument furieux :
Tu nes quune allumeuse ! Si tu préfères te branler dans les chiottes, vas-y ! Sors dici, petite putain ! Dehors !
Je compris au regard et aux conversations de mes collègues que Martine E. navait pas été aussi discrète quil le pensait. Tous étaient convaincus que « Denis S. se tape cette petite salope dOlga T. »
Jétais désormais épiée et jugée. De moins en moins discrets, nous avions aussi été surpris au restaurant, nous tenant la main et nous embrassant. Ma réputation était faite. Javais tous les inconvénients de ladultère sans en avoir les avantages. Je devenais folle, il fallait en finir, soit lui céder, soit partir.
Cest à ce moment-là que jai découvert la réalité de la relation adultère de Philippe avec Ambre et ses mensonges et ce dune façon dont je ne suis pas très fière, en accédant à ses emails, où jai découvert leur correspondance torride. Jétais à la fois abattue et folle de rage, avec une envie darracher les yeux à celui qui mavait ainsi trahi.
Je lui ai fait la terrible scène dont jai déjà parlée dans le récit « Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping : plaisir et jalousie ».
Je me suis soudain sentie libre de toute obligation, même si je nai pas agi seulement par vengeance, mais parce que javais envie de baiser avec Denis.
Ce qui devait arriver arriva.
ADULTERE AU BUREAU
Denis était soudain redevenu très distant, mévitant, mappelant à nouveau « Madame T. »
Un soir vers 18h45, à la sortie dune réunion pénible, Denis mappelle et me demande de venir dans son bureau pour finaliser directement le dossier qui avait été demandé par la hiérarchie. Je peste, car moi je voulais rentrer à la maison et je pensais ma journée finie. Mais bon, il faut bien faire son devoir et je me suis donc retrouvée dans son bureau.
On a commencé à travailler, cela a duré un quart dheure, puis je me suis penchée sur son bureau pour attr un document, et là jai senti ses mains autour de ma taille.
Je lai regardé et je lui ai dit dun ton sec :
Tu fais quoi là ?
Ca suffit maintenant, Olga. On arrête de se mentir, jai envie de toi et toi tu as envie de te faire baiser, ça se voit !
Jai été prise dun désir violent et je suis devenue toute rouge.
Je ne savais plus comment faire, comment résister. Il a alors commencé à me peloter les fesses et à passer lune de ses mains sur mes seins. Jétais toujours dos à lui, il me tenait par derrière et je sentais son sexe grossir contre ma jupe.
Jai perdu la tête et je nétais plus dans le monde réel, mes dernières hésitations senvolaient et ne laissaient place quau désir.
Des semaines et des semaines dabstinence, la trahison de Philippe et, en même temps la cour effrénée de la part de ce type.
Jallais me faire baiser. Enfin, jen crevais denvie!
Il commença à déboutonner ma veste de tailleur, et baissa ma jupe, il enleva ma culotte et la fit glisser sur mes bas. Je ruisselais de plaisir et de désir.
Denis ne sembarrassa pas de préliminaires. Il était fou de désir, volontairement ou pas, je lavais trop « chauffé ».
Il dégrafa sa braguette et sortit son sexe, puis il me lenfonça avec force dans mon intimité, me prenant en levrette et, bien évidemment, sans capote !
Son sexe était énorme. Cela me procura un plaisir si intense, jétais tellement en manque que jai eu mon premier orgasme à peine pénétrée !
Il commença à me labourer très rapidement et sèchement. Il me mettait des coups de boutoir si fort que je jouissais et mouillais comme jamais. Il avait deviné que jaime être prise très sauvagement.
Les mains de Denis me pétrissaient les fesses avec force pendant que sa verge épaisse me défonçait la chatte.
Je poussais de petits cris de jouissance, car jessayais tant bien que mal de ravaler mes jouissances. Il me chevauchait avec fougue et sauvagement, puis il sarrêta et passa en mode très lent, il enfonça alors dans mon petit trou un de ses doigts. La jouissance était trop intense. Son doigt me lubrifiant et mélargissait mon trou du cul pendant que sa grosse queue allait doucement dans mon intimité mouillée.
Puis il mit le bout de son gland à louverture de mon cul et enfonça tout doucement sa bite colossale dans mon anus. Jai eu un orgasme violent !
Javais honte, car ce mec mencule sans me le demander, je le laisse faire et en plus je jouis encore plus que par-devant.
Il menculait sauvagement, je ne sentais plus mon cul ! Je jouissais à répétition. Jétais folle de plaisir.
Puis dun coup, il me retourna me mit à genoux et me baisa la bouche. Sa queue avait le goût de mon cul ! Et je jouissais toujours ! Dun coup il déchargea son foutre épais et brûlant sur ma langue et dans ma gorge. Je jouissais et je lui suçais la bite avec avidité. Je léchais son nectar salé et brûlant. Sa bite ramollissait dans ma bouche, mais son gland restait bien gonflé. Je ne voulais plus sortir sa grosse bite de ma bouche.
Il me releva :
Depuis le temps que jen rêvais. Jai tout de suite su que tu étais une salope. Jai encore envie de toi, Olga. Cette-fois, je veux prendre mon temps et te remplir !
Il eut vite fait de retrouver ses moyens, aidé par ma bouche et ma science de la fellation. Ce soir-là, nous avons fait lamour un long moment, dans divers positions : au sol, moi au-dessus de lui, ce qui lui permettait de me bouffer les lèvres et la langue et de soccuper avec science de mes seins.
Il me prit aussi debout, appuyée contre la cloison. Il ma alors assise sur le bureau, et il sest à nouveau enfoncé en moi avec une douceur et une lenteur calculées.
La pression montait. Il me tenait plus fermement, mimposant une position rigide. Il voulait dominer, me faire payer ma longue résistance.
Je ressens un plaisir fou, cette sensation dextase traverse tout mon corps. Il caresse mon clitoris, menfourche plus profondément à chaque coup, je sens quil va jouir et moi aussi. Au début, mes cris étaient espacés, distinctifs et rauques, ils sont si rapprochés et aigus. Nous navions plus aucun protocole, nous baisions. Denis me chevauche rageusement avec sa queue dans mon entrejambe pour au final jouir comme un fauve qui marque son territoire.
Cest à ce moment que jai pensé à Philippe. Que javais trompé et jy avais pris plaisir, mais, en même temps, jaurais aimé quil assiste pour apprécier le plaisir que javais pris avec mon amant et combien je métais donné à cet homme.
CONSEQUENCES
En rentrant chez moi, jétais partagée. Javais pris un pied inouï, comblant en une soirée de longues semaines de frustration. Je navais pas à regretter de ce point de vue. Et en même temps, javais manqué à mes engagements, en faisant ça sur mon lieu de travail, au risque de salir définitivement une réputation à peine restaurée. Mais surtout javais été adultère et javais menti.
Certes, Philippe navait pas fait mieux avec Ambre. Ce nétait pas une excuse, dautant que je lui avais fait une scène atroce et quil avait, après avoir reconnu sa « faute » et mavoir demandé pardon, obtempéré à mon exigence : rompre sur lheure, en téléphonant à Ambre en ma présence.
De quel droit métais-je comportée ainsi, puisque je mapprêtais alors à faire la même chose ? Ne suis-je pas particulièrement mal placée pour refuser tout écart à un homme qui ma accordé toutes les libertés et me couvre de son amour ? Je sais que cela est vrai, mais je suis ainsi et ça remonte loin dans mon adolescence : Philippe est à moi et que nulle autre ne savise à chercher à me le prendre, je lui arracherai les yeux.
Honteuse, je nai donc pas osé en parler immédiatement à Philippe.
Cest pourtant ce que me conseillait avec insistance Agun, qui soulignait que le non-dit serait destructeur.
Je nai rien voulu entendre. Jai en quelque sorte ajouté la lâcheté au mensonge.
Ma chérie, tu mas confié un exemplaire de ce fameux pacte qui cimente votre couple. Le Principe n°4 dit ceci : « Olga et Philippe sengagent à la plus totale transparence vis-à-vis de leurs relations extra-conjugales. Il ne saurait donc y avoir dadultères dans leur couple ».
Je sais, nous lavons violé lun et lautre. Encore heureux que je nétais pas en période « favorable », je ne me suis même pas protégée !
Suite à sa liaison prolongée avec Ambre, Philippe serait mal venu de te faire des reproches, non ? Il ta assez poussée à laisser libre court à ton hypersexualité. Lui, ça fait des mois que, derrière ton dos, il va baiser cette fille, toi tu tes laissée allée une seule fois. Ce nest pas comparable !
Tu oublies la violence de la scène que je lui ai fait subir. Je me vois mal venir le voir maintenant et lui dire « tu sais, chéri, à propos, je viens de me faire sauter par mon chef »
Vous êtes un couple candauliste, non ? Quand tu tes offerte à ces jeunes au Brésil, cétait aussi un adultère. Tu lui as tout raconté. Presquen direct, je crois. Il y a eu dautres adultères de ta part, hors de tout cadre candauliste. Tu lui as toujours tout dit.
Cétait différent, il ne cessait alors de mencourager alors de prendre des amants. Et ce que jai fait à Rio, cétait une forme de candaulisme. Là, cest un adultère pur et simple.
OK, mais tu oublies que, ces dernières semaines, il ta négligé. Il na rien organisé pour toi depuis des mois alors quil connait tes besoins. Philippe est aussi responsable de ce qui sest passé, non ?
Sans doute, mais jai décidé de ne rien lui dire, jai trop honte. Pas maintenant en tout cas.
Cest une grave erreur, ma chérie. Je taime et je suis à tes côtés. Et Denis, que vas-tu faire de lui ? Pas de double vie, je ten prie !
Il ma baisé comme un Dieu. Mais pas question dentrer dans une liaison adultère prolongée avec Denis. Je ne veux pas commencer une nouvelle galère. Je vais arrêter cette liaison et quitter ce boulot.
Pour la liaison, je comprends, même si je plains Denis qui va penser que tu tes servie de lui. Mais ton travail, non, chérie ! Tu tes beaucoup investi, tu ty épanouis. Réfléchis !
Cest tout réfléchi, je nai pas le choix. Tout le monde pense là-bas que je suis la maitresse de Denis S. On me juge très sévèrement, jentends les conversations derrière mon dos.
De quel droit te juge-t-on ?
Cest comme ça. Je nai pas dautre choix que de démissionner, ce sera en quelque sorte ma punition. Et pas question de chercher un autre job, car ce qui sest passé là se reproduira ment ailleurs.
Le lendemain, Denis a immédiatement remarqué mon visage fermé, le maquillage masquant mal le fait que je navais pas dormi de la nuit.
Il essaya de membrasser, je le repoussais :
Denis cétait très bien, nous en avions envie tous les deux, mais il faut arrêter ça immédiatement. Je ne veux ni détruire ta réputation ici, ni mettre en péril ma famille parce que je nai pas su résister à mes pulsions.
Pulsions ? Parle pour toi, tu veux ! Tu ne penses pas à moi. Je suis fou de toi, je taime ! Et maintenant que tu tes faite tirer comme une pute, tu me largues !
Ne sois pas vulgaire ! Tu dois moublier ! Voici ma lettre de démission. Jai mûrement réfléchi, je nai hélas pas dautres solutions. Pendant ma période de préavis, tu veilleras à me changer de service pour quon ne se croise plus. Je te prie, si tu le peux, de me pardonner.
Jamais ! Fiche-moi le camp, sale petite putain ! Je ne veux plus te voir et entendre parler de toi, monstre, démon !
Philippe a cherché à savoir pourquoi je quittais si brusquement un travail qui me plaisait. Jai refusé de lui donner la moindre explication. Cest ainsi qua tourné court ma tentative de reprendre une activité professionnelle.
Cette expérience prouvait, même si je refusais alors de ladmettre, que jétais bien incapable de résister durablement aux tentations et cela serait confirmé (en pire) un an et demi après, en 2016, quand mon chemin a croisé celui de N. sur une plage (voir récit n°17).
Cest seulement à ce moment-là, lors de la crise provoquée par ma liaison avec N. et ses conséquences que jai trouvé le courage de raconter cet épisode à Philippe. La combinaison de mes deux fautes (cest volontairement que je ne mets pas de guillemets) nous a conduit au bord de la rupture, Philippe se rappelant avec quelle virulence je lui avais reproché son aventure avec Ambre.
Je ne suis pas fière de ce que jai fait et encore moins davoir manqué de courage pour dire immédiatement la vérité à Philippe.
Je continuerai les récits portant sur les « lieux insolites » où sest exprimée mon hypersexualité.
Heureusement, ces autres lieux nont pas eu les conséquences préjudiciables qua eues ma « faiblesse » au bureau !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!